Toucher du doigt un monde imaginaire
Voilà plus de dix ans que je vis à Paris et je n’étais encore jamais aller visiter Disneyland (qui, je l’ai découvert, par la même occasion, ne s’appelle plus Eurodisney depuis des lustres). Pourtant, je suis a priori le public idéal: âme d’enfant, nostalgie et tout le tralala. J’ai d’ailleurs bien cru qu’une de mes