Tout est calme
Dimanche matin, les yeux perdus dans le coton du ciel. Dans la cour, les cent fenêtres des immeubles alentours sont encore closes. Seul résonne au loin le cliquetis léger de ce qui doit être un réveil réglé sur une sonnerie douce (quelques notes de harpe électronique sans doute). Pas un bruit de fourchette, ni même