Depuis la dernière fois, il y a eu l’éclosion des fleurs de mimosa un peu partout. Des pâtes en forme de lettres dans plusieurs polices différentes (et une nouvelle idée de collection étrange). Le vieux poste radio, dans la véranda de mes grands parents qui, sans doute, est encore en état de marche. Les marques des tracteurs sur le sable mouillé, au matin de la dernière grande marée.
Des chaussures à paillettes fabriquées pour ma chronique sur TEVA (la vidéo est disponible ici) afin de pouvoir jouer les Dorothy dans le magicien d’Oz. Une carte de monde tel qu’il était il y a pas mal d’années, sauf les contours de l’Atlantique qui n’ont eux pas changé. Une boîte d’allumette recouverte de papier imprimé qui devait faire l’objet d’un billet pour le blog quand j’aurais eu le temps de prendre des photos. Des oiseaux sur un fil électrique qui avaient l’air de prendre un bain de soleil.
Une fleur et un rayon de soleil, un matin en Normandie. Un essai de NailArt qui me rappelle combien il peut être imprudent de dire « jamais ». Les affiches collées par Eleonore sur le mur du bureau, qui disent quelque chose de beau, en plus d’être agréables à regarder. Le coucher de soleil, un soir, qu’on pouvait voir si on levait la tête, à travers mon velux.
Chopin qui a les plus beaux yeux du monde. Un tatouage pour ne pas oublier quelque chose d’important et parce que c’est joli, tout simplement. Une tentative à moitié concluante pour faire des tampons dans une gomme. Un camélia en papier blanc.