Insomnie
J’ai vérifié, sur le réveil. Il est quatre heures. J’ai beau refuser d’allumer la lumière, le sommeil, je le sais, ne viendra pas. Le terrain de jeu des confusions nocturnes occupe à présent tout l’espace, on ne peux rien contre lui. C’est drôle comme tout est remis en question, à ce moment-là. C’est toujours l’heure