Une poussière dans l’immensité
Lorsque j’habitais à Granville, j’empruntais toujours ce petit chemin pour me rendre à Donville, les jours où je déjeunais avec ma grand-mère. C’est de là, selon moi, que l’on a la plus belle vue sur la côte, à 180º, d’un bout à l’autre de l’horizon. Depuis la route principale, si vous longez les tennis après