Des coeurs qui flânent
Je n’aime pas trop pêcher, en vérité. Il me reste toujours en mémoire le souvenir des maquereaux qu’on achève en leur administrant une sorte de coup du lapin, et l’odeur écoeurante du sang répandu dans le bateau. Si la pêche à pied me plait, c’est essentiellement car elle peut tenir aussi de la cueillette (si l’on