journal
Comme Heidi, je suis allée trouver le calme pour quelques jours dans les alpages avec ma petite famille. Là d’où je suis, je commence sérieusement à douter de mon tempérament de citadine. Le temps à rallonge, les cloches des vaches, les prés fleuris, la marche, le silence… j’hésite à faire une étude de marché sur
Ainsi qu’en témoigne cette photo, il y a, en ce moment, comme un léger problème dans ma garde robe : je n’achète que du bleu et du rouge. Soyez tranquilles, je ne porte pas tout ça en même temps, même si la tentation est forte, certains jours, de réinventer le style Yvette Horner époque Jean-paul
Pour moi, visiter un jardin – je veux dire visiter, et pas buller pendant des heures sur une pelouse ou un fauteuil Luxembourg – est une activité classée dans la catégorie troisième âge avec option « jamais de la vie je ferais une chose pareille ». Ainsi, je me demande encore quel sombre malentendu nous a poussé
J’aime ce petit miracle qui opère parfois lorsqu’un groupe de personnes qui ne se connaissent pas se rencontrent et s’entendent. C’était le cas, samedi soir, devant l’un des étangs irréguliers du merveilleux parc des Gayeulles, à Rennes. Un barbecue, quelques amis, une surprise faite à une personne chère pour fêter son mariage imminent. Le temps
Quand arrive la fin du jour en été, il y a toujours, en arrière plan, cette nostalgie du temps qui passe. Et l’on retient son souffle avec l’espoir secret de le suspendre un peu. Le ciel avec ses couleurs infernales et son air de vouloir nous annoncer la fin du monde, joue gentiment à nous
Des fêtes foraines, j’aime l’idée qu’on s’en fait davantage que les fêtes elles-mêmes. J’aime, par exemple l’idée du manège, cette ivresse qu’on s’offre pour deux-trois euros et qui cesse d’un coup après quelques minutes, sans dommage collatéral pour qui supporte bien d’être secoué comme un prunier. J’aime le parfum écœurant des churros imbibés de sauce
