Dreams come true
Hier soir, quelques secondes avant d’éteindre mon ordinateur, j’ai reçu un mail de L. C’est une amie d’enfance, L. Une rencontre qui ne date pas d’hier, qui avait commencé à la sortie de la messe quand elle était venue me demander tout simplement « est-ce que tu veux être mon amie ». Décontenancée par sa question, par politesse ou pour tromper le malaise, j’avais répondu « oui ». S’en est suivie une immense amitié durant de longues années qui, comme beaucoup d’amitiés de jeunesse, s’est bêtement étiolée un peu avant d’entrer à l’université. On s’envoie des nouvelles de loin en loin, on ne se