journal
C’est un rien de la vie ordinaire : j’ai découvert tout récemment que mes mains n’étaient pas immondes. Élargissement inattendu de mon champ des possibles. Voilà 30 ans que je les observais, dépitée. Dépitée que ces mains qui me sont si précieuses ne soient pas, visuellement, à la hauteur de la place immense qu’elles tiennent
Dimanche matin, les yeux perdus dans le coton du ciel. Dans la cour, les cent fenêtres des immeubles alentours sont encore closes. Seul résonne au loin le cliquetis léger de ce qui doit être un réveil réglé sur une sonnerie douce (quelques notes de harpe électronique sans doute). Pas un bruit de fourchette, ni même
Dans la famille, on fait de la voile depuis des générations. Quand le capitaine vous ordonne d’affaler la voile, de border le hale-bas ou d’installer les dames de nage sur l’annexe, vous avez intérêt à comprendre de quoi il s’agit si vous ne voulez pas prendre un grain. Et à vous exécuter presto. Autour du
J’aime ce petit miracle qui opère parfois lorsqu’un groupe de personnes qui ne se connaissent pas se rencontrent et s’entendent. C’était le cas, samedi soir, devant l’un des étangs irréguliers du merveilleux parc des Gayeulles, à Rennes. Un barbecue, quelques amis, une surprise faite à une personne chère pour fêter son mariage imminent. Le temps
[imagebrowser=136] Un claquement de doigts et les fêtes de Noël sont déjà terminées. Elles ont été simples et sans chichi, devant ce merveilleux paysage montagnard dont je ne me lasse pas, avec descente aux flambeaux et feux d’artifice pour commencer la veillée de Noël. Ces vacances ont été… + Reposantes, comme savent l’être les longues
[imagebrowser=135] Il est bientôt 17 heures et, derrière moi, j’entends des Pères-Noël répéter leur plan d’action pour ce soir. Le foie gras que je ne mangerai pas et le champagne sont au frais. Il paraît qu’il y aura un feu d’artifice, ce soir. Nous ne savons toujours pas bien comment on va cuire le chapon,
